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Diara VONG

Gestionnaire Back / Middle Offfice - Marchés Financiers

10 ans d'expériences sur le Post Marché
Gestionnaire Middle Office Marché
Gestionnaire Back Office Marché
Dynamique
Esprit d'Equipe
Diara VONG
45 ans
Permis de conduire
Chassieu (69680) France
Situation professionnelle
En recherche d'emploi
En recherche active
Présentation
Issu d'une Famille Khmère d'agriculteurs, de nationalité Française, du Khmer Kampuchea Krom de la Cochinchine qui furent les Vétérans des Guerres d'Indochine contre les Viêt Mihns (1946 - 1954) puis des Viêt Congs et des Khmers Rouges (1954 - 1975), l'urbanisme, les transports, l'environnement, la santé, l'éducation sont à reconstruire et doivent être repensés au Cambodge. Suite à la célébration de mon Union religieuse Khmère et Bouddhiste avec mon Épouse au Cambodge en 2012, je veux rentrer au Cambodge pour des raisons familiales et apporter le savoir faire Français en matière de Green Business.

"Courage, Force, Honneur, Confiance, Humilité, Honnêteté, Intégrité et Humanisme", sont les valeurs autour desquelles j'y suis très attachées.

Malgré une croissance annuelle moyenne de 7,7 % au cours des 10 dernières années, la discrimination et l'exclusion sociale aggravées par les changements climatiques sont les fléaux auxquels il faut combattre d'urgence au Cambodge.
Français, parlant couramment Khmer et Anglais avec quelques notions en Allemand et en Japonais, j'aime l'esprit d'équipe, le goût pour la créativité, l'innovation et faire du Cambodge un lieu de Havre de Paix, un lieu de vie sain, propre, écologique, un lieu où l'on se sent vivre en sécurité.

Dans les 5 prochaines années, je ne veux plus jamais voir d'enfants dans les enfers des déchets.
Le développement des transports public, des trains régionaux, du tramway doivent drastiquement réduire la pollution, améliorer la sécurité routière, l'accès à l'eau potable et aux soins, d'ordre publique.

Stratégiquement géographiquement ouvert aux héritages de l'Empire Khmer qui inclue le Viêt Nam, le Laos, la Thaïlande, la Malaisie, Singapour, les Philippines, la Birmanie, l'Indonésie...je souhaite que le développement des affaires et des innovations de demain au Cambodge se feront dans le respect de la préservation et de la valorisation des ressources naturelles, des écosystèmes et du respect des vies humaines.

M. Diara VONG

(+33) 06 64 92 57 86
vongdia@yahoo.fr
Appel du 18 juin 1940 - Discours enregistrée le 22 juin 1940 par le Général de Gaulle

"Le gouvernement français, après avoir demandé l'armistice, connaît, maintenant, les conditions dictées par l'ennemi.

Il résulte de ces conditions que les forces françaises de terre, de mer et de l'air seraient entièrement démobilisées, que nos armes seraient livrées, que le territoire français serait totalement occupé et que le gouvernement français tomberait sous la dépendance de l'Allemagne et de l'Italie.

On peut donc dire que cet armistice serait non seulement une capitulation mais encore un asservissement.

Or, beaucoup de Français n'acceptent pas la capitulation ni la servitude pour des raisons qui s'appellent l'honneur, le bon sens, l'intérêt supérieur de la patrie.

Je dis l'honneur, car la France s'est engagée à ne déposer les armes que d'accord avec ses alliés.

Tant que ses alliés continuent la guerre, son gouvernement n'a pas le droit de se rendre à l'ennemi.

Le gouvernement polonais, le gouvernement norvégien, le gouvernement hollandais, le gouvernement belge, le gouvernement luxembourgeois, quoique chassés de leur territoire, ont compris ainsi leur devoir.

Je dis le bon sens, car il est absurde de considérer la lutte comme perdue.

Oui, nous avons subi une grande défaite.

Un système militaire mauvais, les fautes commises dans la conduite des opérations, l'esprit d'abandon du gouvernement pendant ces derniers combats nous ont fait perdre la bataille de France.

Mais il nous reste un vaste empire, une flotte intacte, beaucoup d'or.

Il nous reste des alliés dont les ressources sont immenses, et qui dominent les mers.

Il nous reste les gigantesques possibilités de l'industrie américaine.

Les mêmes conditions de la guerre qui nous ont fait battre par cinq mille avions et six mille chars peuvent nous donner, demain, la victoire par vingt mille chars et vingt mille avions.

Je dis l'intérêt supérieur de la patrie car cette guerre n'est pas une guerre franco-allemande, qu'une bataille puisse décider.

Cette guerre est une guerre mondiale.

Nul ne peut prévoir si les peuples qui sont neutres, aujourd'hui, le resteront demain.

Même les alliés de l'Allemagne resteront-ils toujours ses alliés ?

Si les forces de la liberté triomphent finalement de celles de la servitude, quel serait le destin d'une France qui se serait soumise à l'ennemi ?

L'honneur, le bon sens, l'intérêt supérieur de la patrie commandent à tous les Français libres de continuer le combat là où ils seront et comme ils pourront.

Il est, par conséquent, nécessaire de grouper partout où cela se peut une force française aussi grande que possible.

Tout ce qui peut être réuni en fait d'éléments militaires français et de capacité française de production d'armement doit être organisé partout où il y en a.

Moi, général De Gaulle, j'entreprends ici, en Angleterre, cette tâche nationale.

J'invite tous les militaires français des armées de terre, de mer et de l'air, j'invite les ingénieurs et les ouvriers français spécialistes de l'armement qui se trouvent en territoire britannique ou qui pourraient y parvenir, à se réunir à moi. J'invite les chefs, les soldats, les marins, les aviateurs des forces françaises de terre, de mer, de l'air, où qu'ils se trouvent actuellement, à se mettre en rapport avec moi. J'invite tous les Français qui veulent rester libres à m'écouter et à me suivre.

Vive la France libre dans l'honneur et dans l'indépendance !"